D’une humeur de cheval, qu’ils s’interrogent, qu’ils aient la fièvre, la pénibilité ou la joie de leur condition, leurs comportements sont parfois différents mais leurs instincts, leurs émotions sont semblables aux nôtres. Liés à cet animal domestiqué, au cours du siècle dernier cette cohabitation pris fin pour n’être que principalement résumée par les jeux de courses et le spectacle sous diverses formes. Compagnons des champs et des sports, il reste une curiosité, un mystère, une énigme ! Percevoir ses humeurs c’est un peu par similitude ceux de nos comportements aussi. Sous forme de tableaux photographiques j’ai donc imaginé ces vapeurs animales, ces humeurs équussines comme une transpiration visuelle. Une transpiration qui nous relie à nos vies, au rapport que nous avons avec le vivant et à ce que nous nous représentons de l’existence.